Dans la presse

« Dominique Chargé, président de la Coopération Agricole dont les adhérents collectent, transforment et mettent en marché 70 % de la production agricole française, en appelle à la responsabilité des distributeurs et des consommateurs. »

La deuxième usine de biométhane française par la taille, située en Seine-Maritime, est alimentée par des résidus issus de la transformation de betteraves fournis par le groupe sucrier Cristal Union (Cristalco, marques Daddy, Erstein, Eridania).

Dans un entretien avec LSA le président de l’Ilec plaide notamment pour le prolongement mais aussi l’évaluation du SRP majoré, et remarque à propos de son effet sur les prix en rayons : « Nous ne savons pas l’estimer. Entre 2019 et 2021, les prix de cession de l’industrie à la distribution...

« Jean-François Loiseau estime que les augmentations de prix s’échelonneront entre 0 et 7 % dans les mois à venir car les “petites entreprises ne peuvent pas résister” à la hausse de certains coûts, comme les salaires ou les emballages. »

Recension des chantiers d’usines dans l’agroalimentaire : industrie laitière, frites fraiches et surgelées, alimentation pour animaux… Danone, Laïta, Isigny, McCain, Agristo, Carambar et d’autres investissent cette année.

« À long terme, si les distributeurs pressurent trop leurs fournisseurs, ces derniers innovent moins, rognent sur la qualité voire font faillite. De plus, les baisses obtenues sur les grandes marques se répercutent sur les petits fabricants, contraints de s’aligner pour rester dans la course malgré des coûts plus &eacut...

« Basée en Haute-Savoie, la filiale européenne du groupe japonais a consacré une enveloppe de 3,5 millions d​‌’euros à ce produit écoconçu. Deux ans de travaux ont été nécessaires pour mettre au point le procédé. »

Les enseignes de produits DPH et bazar à bas prix séduisent de plus en plus de consommateursn proposent-elles des produits de qualité, faut-il vraiment parler de « bonnes affaires », avec quelles conditions de travail dans leurs magasins ? Table ronde.

« Parmi les marchés qui tirent ces ventes en ligne, on note d’abord les ventes de produits alimentaires, portées surtout par les pure players. Ce secteur est à + 4 % en 2024 et + 89 % par rapport à 2019. Dans le non-alimentaire, le secteur de la beauté (+ 4%) se démarque… »