Dans la presse

Selon une enquête internationale de Capgemini auprès de 1 300 dirigeants industriels d’Europe et des États-Unis, la première des raisons invoquées pour justifier le mouvement de démondialisation (devant les risques géopolitiques, l’enjeu écologique ou les incitations publiques menées dans leu...

Les entreprises ont « surtout rencontré des difficultés pour joindre un conseiller, obtenir des réponses à leurs réclamations ou encore honorer leur contrat signé en 2022, au pic des prix de marché », indique le médiateur médiateur d’EDF Olivier Fontanié.

« La plateforme France Foncier + ouverte ce 17 avril recense six cents sites, dont cinquante clés en main. (…) D’un clic, le porteur du projet obtient une fiche détaillée standard de chaque terrain avec un e-mail de contact pour joindre l’acteur local chargé du dossier. »

Le niveau sur les trois premiers mois de l’année reste inférieur à celui de la même période en 2019, mais le flux d’inscriptions au fichier des incidents de remboursement de crédit depasse les seuils pré-Covid.

Dix enseignes parmi les vingt premiers annonceurs en 2023, dont trois sur le podium, et seulement trois industriels de la grande conso. Où sont les marges pour investir en pub ?

Le Comité national routier mentionne notamment les effets de la pénurie de conducteurs qui oblige les entreprises à recourir à des intérimaires plus coûteux, et de la hausse des taux de cotisation employeurs.

« La Confédération française de l’aviculture a réagi par la voix de son résident dans un courrier que s’est procuré LSA. (…) (Sa) réaction en dit long sur l’atmosphère de méfiance qui règne entre distributeurs et producteurs. »

« Les projecteurs sont braqués sur les négociations entre distributeurs et marques, bouclées fin janvier. Mais le bras de fer est loin d’être terminé. Comme le précise le DG de Sodiaal, “il y a plus de pression sur les MDD”. L’absence de date butoir ne facilite pas la tâche. Mais les pr&ea...

« Les fournisseurs du groupe Carrefour se voient réclamer de ruineuses remises pour des “prestations de services” aux critères nébuleux. Et qui peuvent raboter jusqu’à 8,5 % de leur chiffre d’affaires. » Le Canard cite le chiffre 2022 de l’Ilec sur les pénalités logistiques.