Dans la presse

« La détente des cours est à relativiser. Certes par rapport à une année 2022 hors normes, ils sont en net repli pour le blé ou le maïs par exemple, mais ils restent nettement au-dessus de leurs niveaux de 2020 ou d’avant Covid sans espoir d’un retour au niveau précédent à court terme (&...

« À la suite des rencontres de la transparence organisées le 13 mars à Bercy, et des travaux engagés avec les représentants des industriels et des distributeurs, partagés avec la FNSEA et les associations de défense des consommateurs, Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée...

« À long terme, la fragmentation du parcours d’achat profite au retail media » mais celui-ci « induit une exploitation plus complexe en matière de données » : « Les agences ont leur rôle à jouer pour aider les marques à naviguer dans l​‌’écosystème. » Tribune de Publici...

« C’est le sens de l’histoire, justifie Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des Entreprises, du Tourisme et de la Consommation. Pour plus de 80 % des consommateurs, il y a deux éléments saillants qui déterminent leur acte d’achat. D’abord le prix et ensuite l’or...

« Fin du cycle d’inflation initié en décembre 2021. Le marché est à nouveau déflationniste à – 0,1% à un an. Tous les chiffres de Circana. »

Des produits moins chers dans l’Ouest, et plus chers de 20 % à Paris, selon les relevés de NielsenIQ. « D’un département à l’autre, les différences en rayons peuvent varier de plus de 20 % . Plusieurs facteurs, comme le nombre et la nature des distributeurs, expliquent ces différences. &ra...

« Le prix de la fève de cacao explose sur les Bourses mondiales à cause d​‌’une dernière récolte fortement déficitaire. Mécaniquement, cette flambée va s​‌’étendre aux produits finis dans les prochains mois et se répercuter sur les prix au détail en 2025. »

La hausse des prix des services détermine l’inflation sous-jacente à moyen terme et elle reste nettement plus élevée que la hausse des prix des produits manufacturés, du fait des salaires et de l’absence absence de gains de productivité. Et l’euro pourrait continuer à se déprécier par...

Un triple objectif dans ses neuf usines françaises : augmenter leurs capacités de production, innover en matière d’emballage durable et poursuivre la transition écologique.