Dans la presse

C’est ce qui ressort du projet de cahier des charges pour la filière emballages présenté au Conseil national d’évaluation des normes le 7 septembre, que publie Contexte. De l’inflation en vue pour les produits emballés…

Entretien avec Daniel Diot et Nicolas Genty, avocats au cabinet Loi & Stratégies : « On peut s’interroger sur l’argument principal avancé contre cette date butoir : celle-ci empêcherait de renégocier en cours d’année. Or, la loi prévoit bien la possibilité de modifier le contrat...

« La pratique est bien plus ancienne que présentée, depuis la libéralisation des poids des produits alimentaires en 2007 ! (Et) aucun des procureurs des plateaux TV n’est irréprochable. »

« L’enseigne était accusée de vendre des lots de deux sucrines 99 centimes dans ses paniers anti-inflation, alors qu’auparavant ces petites salades avaient été proposées au même prix, mais par lot de trois. » Voir aussi sur France Info.

Mention explicite sur la face avant de l’emballage de la mention « nouveau format » et du « nouveau poids 590g ». Le directeur général France, Belgique et Pays-Bas de Findus récuse la campagne d’Intermarché contre ses pommes rissolées sugelées.

Entretien du Figaro avec Richard Panquiault, président de l’Ilec.

« La filière laitière réclame d​‌’être exemptée des renégociations commerciales pour sauvegarder les élevages, alors que la collecte continue de reculer. » En jeu : l’acquis des lois Égalim pour le revenu des éleveurs.

« Le prix de l’énergie ne reviendra pas à ses standards d’avant 2020. Côté matières premières agricoles, les cours des céréales sont non seulement soumis à l’aléa climatique mais aussi à l’incertitude géopolitique… »

Pour autant qu’elle puisse être nettement anticipée, ce qui ne va pas de soi, souligne le Figaro, « la plus grande incertitude réside sur l’impact de cette révision massive des tarifs et plus encore sur son impact sur les prix en rayons ». Car pour la plupart des industriels de PGC, le mix de coûts ne baisse...